LSP
Menu icoMenu232White icoCross32White

Images de la page d'accueil

Cliquez pour éditer

Texte, bouton et/ou inscription à la newsletter

Cliquez pour éditer
Association LGBT+ de personnes vivant avec le VIH et de leurs proches
Nous rejoindre
icoFacebook24Color icoTwitter24Color icoInstagram24Color

Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux

Cliquez pour éditer
  • LSP
  • Qui sommes nous ? ▴▾
    • Asso en quelques mots
    • Notre histoire
    • Adhésion LSP 2025
    • Nos partenaires
    • Actualité
    • Faites un don
  • Nos missions ▴▾
    • Reconstruire l'estime de soi
    • Vivre bien avec le VIH
    • Lutter pour la séroinclusion
  • Nos actions ▴▾
    • Apéropotes
    • Sorties
    • Accompagnement
    • Ressourcement
    • Défendre nos droits
    • Events publics
  • Vivre avec le VIH ▴▾
    • Parler du VIH
    • Gérer ma santé
    • Hygiène de vie
    • Compte Rendu Etats Généraux des PVVIH
    • Adresses utiles
  • Signaler un acte de sérophobie ▴▾
  • Faire un don
  • Se connecter
  • Asso en quelques mots
  • Notre histoire
  • Adhésion LSP 2025
  • Nos partenaires
  • Actualité
  • Faites un don
  • Reconstruire l'estime de soi
  • Vivre bien avec le VIH
  • Lutter pour la séroinclusion
  • Apéropotes
  • Sorties
  • Accompagnement
  • Ressourcement
  • Défendre nos droits
  • Events publics
  • Parler du VIH
  • Gérer ma santé
  • Hygiène de vie
  • Compte Rendu Etats Généraux des PVVIH
  • Adresses utiles
Compte Rendu journée PVVIH - 08 juin 2024

ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

Abonnez-vous à notre newsletter
icoCross16Dark

Compte Rendu journée PVVIH - 08 juin 2024

CR - EGPPVIH POUR CA 1

CR - EGPPVIH POUR CA

Date

Introduction

@08/06/2024

Introduction Objectifs : Le but est d’établir différentes recommandations sur plusieurs thèmes pour différents

Acteurs :

Qui sont les personnes vivants avec le VIH ? Résultats Statistiques sur les études ANRS CO4 et CO3 Résultats de l’étude Moi-Patient Atelier 1 → Santé

Observations : Recommandations : Atelier 2 → Vie relationnel et sexuel Observations : Recommandations : Atelier 3 → VIH et Travail Observations : Recommandations : Atelier 4 → Discriminations Observations : Recommandations : Atelier 5 → Santé Mentale Observations Recommandations Restitution des premières recommandations Pour développer notre capacité d'agir Pour lutter pour nos droits

S'inscrire dans l'histoire et l'évolution de l'épidémie Accompagner les personnes au quotidien Soutenir les personnes face aux institutions extérieures Défendre les droits des personnes Maîtriser sa disibabilité

Développer sa capacité à agir pour soi Développer sa capacité à agir avec les autres Prendre soin de soi Statistiques sur les participants des EGPVVIH

CR - EGPPVIH POUR CA 2

Objectifs :

Exprimer les besoins des personnes vivant avec le VIH sur diverses

thématiques : santé, travail, accès aux soins, discriminations.

Réaliser un état des lieux grâce à des recommandations stratégiques en

fonction de la réalité actuelle et des textes de loi en vigueur.

Permettre une amélioration concrète de la qualité de vie des personnes

vivant avec le VIH.

EGPVVIH est un événement interassociatif. Le constat

actuel est que le VIH est perçu comme un “bruit de fond”,

un virus à part entière malgré une stigmatisation et

discrimination persistante. Un comité de pilotage,

réunissant plusieurs membres d’associations dont

Florence Thunes et Camille Spire, ainsi que deux

médecins de deux sociétés savantes, a été formé.

Le but est d’établir différentes recommandations

sur plusieurs thèmes pour différents acteurs :

Pour les individus et la communauté PVVIH.

Pour les associations.

Pour les pouvoirs publics.

Pour le personnel de santé et les professionnels de santé.

Qui sont les personnes vivants avec le VIH?

En 2021, 159 000 personnes, ayant reçu un diagnostic confirmé, vivaient avec

le VIH.

Parmi elles, 34% étaient des femmes, dont 41% résidaient en Île-deFrance.

CR - EGPPVIH POUR CA 3

4% des personnes atteintes avaient plus de 75 ans et 91% étaient avaient

une ALD pour le VIH.

Résultats Statistiques sur les études ANRS CO4 et CO3

Tableau récapitulatif des résultats des deux cohortes suivies en France en 2021.

CR - EGPPVIH POUR CA 4

Sur un total de 111 371 patients :

65% d’hommes.

35% de femmes.

et 971 Transgenres.

Pourcentage sur le suivi :

40 % des hommes sont suivis en IDF.

45,7 % des femmes sont suivis en IDF.

70% pour les transgenres.

Groupe d’acquisition du VIH :

Homme :

57% HSH.

29% Héterosexuel.

Femme : 86% Héterosexuel

Trans : 94% HSH

Année de diagnostique (point médian) :

CR - EGPPVIH POUR CA 5

Homme : 2005 (1995 - 2013).

Femme : 2004 (1997 - 2012).

Trans : 2008 (2001 - 2015).

Traitement ARV :

Homme : 97%

Femme : 96%

Trans : 98%

Type de traitement :

Type de traitement Homme Femme Trans

Mono 2 2 1

Bi 21 18 11

Tri 75 78 86

+ 3 ARV 2 2 2

Pas de traitement :

Homme : 3%

Femme : 4%

Trans : 2%

L’image ci-dessus montre les résultats en fonction des types de traitements.

CR - EGPPVIH POUR CA 6

Suivi en France des comorbidités :

Traitement et risque cardiovasculaire → 20% en 2020

Traitement psychotrope → 13% en 2020

Maladie cardioneurovasculaire → 10% en 2020

Espérance de vie en 2018

Annexes

Axe de lecture : Pour un homme qui a été contaminé à l’âge de 20 ans pendant la

période 1997 - 2005, l’espérance de vie en 2018 est de 54 ans (point médian).

CR - EGPPVIH POUR CA 7

Rapport-Indicateurs-de-prise-en-charge-des-PVVIH-dans-les-CO

REVIH-en-France-en-2021_v2.pdf

Résultats de l’étude Moi-Patient

Une étude qui a été réalisée avec le soutien de différentes

associations, dont les Séropotes.

➡️ Objet de l’étude : Bien vieillir avec le VIH. Durée du questionnaire :

1h.

Principaux résultats :

425 répondants de plus de 50 ans, dont une surreprésentation des

hommes de 60 à 69 ans vivant en Île-de-France.

70% ont une pathologie autre que le VIH.

Un cinquième ne pratique pas d’activité physique régulière.

Catégories socio-pro :

78% en situation précaire.

33% des personnes rencontrent des difficultés financières.

50% sont à la retraite.

30% ont une alimentation suffisante.

Vie sociale :

40% ont une vie sociale peu ou pas épanouie.

82% indiquent que l’annonce de la séropositivité a conduit à un rejet

dans leur vie sociale.

60% ont une vie sociale peu épanouie.

Sur la santé :

40% font un bilan de santé annuel.

CR - EGPPVIH POUR CA 8

Un tiers des sujets ne sont pas abordés par les professionnels de

santé.

Un quart des personnes arrivent à trouver un professionnel de santé

pour se faire soigner : prise de rendez-vous, examen médicaux…

Un quart des personnes rencontrent des difficultés pour trouver un

professionnel de santé pour se faire soigner.

Sur la santé mentale :

32% ont un mauvais état de santé psychologique.

36% éprouvent une tristesse au quotidien.

Sur la retraite :

84% n’ont pas fait de démarche pour la retraite.

60% n’ont pas fait de simulation pour la retraite.

Atelier 1 → Santé

Observations :

La relation avec le soignant est complexe.

Il y a un manque de temps.

L’écoute fait défaut.

Des problèmes de communication sont présents.

Il n’y a pas de possibilité de dialogue avec le soignant.

La stigmatisation envers les soignantes persiste.

Les services de santé se font de plus en plus rares.

Recommandations :

Améliorer la formation initiale des médecins et leur formation continue

sur la vie des personnes vivant avec le VIH. Cette action est réalisée par

les organismes de santé publique et les associations.

Favoriser l’accompagnement des associations et des individus par les

médecins et les patients dans le parcours de santé.

Créer un support pour aider lors de l’annonce de la séropositivité.

CR - EGPPVIH POUR CA 9

Mettre en place un observatoire des refus de soins et des dénonciations

des professionnels de santé (dentistes, gynécologues, proctologues).

Préconiser une coordination des soins en collaboration avec les maisons

de santé.

Intégration des patients experts formés dans un accompagnement (en

centre de santé ou dans des associations de patients).

Atelier 2 → Vie relationnel et sexuel

Observations :

Il n’est pas facile d’annoncer sa séropositivité à ses proches, son

partenaire, ses rencontres, sa famille, etc.

La même difficulté se présente dans le cadre professionnel.

La peur de la sérophobie lors de l’annonce, la honte et la crainte du rejet

sont présentes.

Les personnes interrogées expriment souvent un sentiment d’isolement

et de solitude.

Les proches manquent souvent de connaissances sur le VIH,

notamment en ce qui concerne les modes de contamination, les

traitements et la qualité de vie.

Il y a un besoin de se retrouver entre personnes séropositives au sein

d’un groupe de patients et d’associations.

Il est nécessaire de lutter contre les discriminations, notamment la

sérophobie, dans la société.

Recommandations :

Selon les observations, nous pouvons formuler des recommandations

dans trois domaines principaux :

Concernant la famille et les proches.

Dans le cadre de la relation de couple.

Lors d’une rencontre occasionnelle.

CR - EGPPVIH POUR CA 10

Il est important de noter que les besoins et les

recommandations varient en fonction de la culture, qu’elle

soit géographique ou religieuse.

Il est demandé une plus grande visibilité dans les médias

(communication à 360°), financée par les pouvoirs publics et l’État. La

communication sur le VIH devrait véhiculer le message “nous vivons

bien avec le VIH et nous ne sommes pas malades”.

Une campagne devrait être menée au niveau national et pas

seulement le 1er décembre.

Il est nécessaire de sensibiliser le public avec le slogan I = I, à travers

une campagne médiatique.

Une sensibilisation dès l’école est également recommandée, par une

révision du programme de sciences naturelles, l’intervention de patients

experts et d’associations lors de moments d’échanges et de

témoignages.

Il est important de sensibiliser les communautés migrantes sur les

protocoles de soins, sur les outils de prévention et de lutte contre le VIH.

Il faut garantir le droit d’annoncer ou de ne pas annoncer sa

séropositivité et assurer le respect médical.

Au niveau des individus, il est envisagé un accompagnement lors de

l’annonce par des associations de patients.

Un guide présentant les grandes étapes de l’annonce auprès des

proches et de l’entourage devrait être prévu.

Des numéros d’écoute et d’aide d’associations de patients devraient être

renseignés.

Une proposition de temps de parole pour les conjoints vivant avec un

PVVIH est également suggérée.

De même, il est nécessaire d’éduquer les communautés africaines pour

distinguer le VIH et le SIDA, concepts encore mal compris dans certains

pays d’Afrique.

Atelier 3 → VIH et Travail

CR - EGPPVIH POUR CA 11

Cet atelier était une option parmi plusieurs autres.

Observations :

L’accès à l’emploi n’est pas simple pour les PVVIH (recherche d’emploi,

entretiens, etc).

Il est nécessaire de trouver un travail et des conditions adaptées.

La sérophobie est avérée dans le cadre du travail.

Est-il nécessaire de parler de son statut sérologique au travail ? Il faut

trouver un espace pour en discuter.

Recommandations :

Sensibiliser les PVVIH à la RQTH, qui permet l’aménagement du temps

de travail, offre la possibilité de formation professionnelle pour un

changement de métier, réserve des postes au sein d’une entreprise et

adapte les postes en fonction des besoins.

Il est important d’informer et de communiquer sur la possibilité de parler

de son statut à la médecine du travail, qui est soumise au secret

médical.

La médecine du travail doit respecter le secret médical, quelle que soit

la pathologie, et ne doit pas informer l’employeur.

Il faut sensibiliser, en fonction des cas, aux droits sociaux, dont la

pension d’invalidité.

Il est recommandé de rencontrer les syndicats et de les former sur les

actes de sérophobie en entreprise. Cette démarche peut être liée à

d’autres actes de discrimination, comme l’homophobie ou la

discrimination liée à d’autres pathologies chroniques.

Il est suggéré de créer une cellule d’information et de sensibilisation

auprès des entreprises et des RH sur les maladies chroniques, dont le

VIH.

Atelier 4 → Discriminations

Observations :

CR - EGPPVIH POUR CA 12

La discrimination est toujours aussi présente, voire même plus présente,

malgré 40 ans d’épidémie. Elle se manifeste de plusieurs façons :

L’accès aux métiers (voir les notes sur l’atelier 3).

Par les professionnels de santé.

Dans l’entourage proche, famille, amis, connaissances.

Lors des rapports sexuels, sur les réseaux de rencontres (notamment

pour les HSH).

Dans l’accès au logement → prêt immobilier.

Il existe une discrimination avérée envers les femmes et également les

travailleurs du sexe.

Recommandations :

Recommandations sur plusieurs thématiques : cadre du

travail (voir atelier 3, non restitué lors de cet atelier), sur le

plan judiciaire, auprès du grand public, auprès des

associations.

Côté judiciaire :

Plus de fermeté sur les actes de sérophobie.

Renforcement des sanctions.

Inscrire dans la loi le délit de sérophobie.

Informer les PVVIH de leurs droits en cas d’actes de sérophobie.

Inscription des actes de sérophobie dans le casier judiciaire.

Auprès du grand public :

Communication média financée par les pouvoirs publics et auprès de

l’État.

Sensibilisation auprès de l’éducation nationale, les professionnels de

santé.

Auprès des associations de patients :

Mise en place d’un observatoire des discriminations auprès des PVVIH.

CR - EGPPVIH POUR CA 13

Mise en place d’un numéro vert d’écoute des discriminations.

Rédaction d’une charte inter-associative de lutte contre les

discriminations.

Création d’un collectif regroupant plusieurs associations dans la lutte

contre la sérophobie.

Atelier 5 → Santé Mentale

Observations

Certains PVVIH se sentent isolés, ayant du mal à communiquer avec leur

entourage ou un thérapeute.

Ils expriment une peur liée à la maladie et une inquiétude face aux

comorbidités.

Pour se sentir mieux, certains adoptent des activités telles que la

musique, la méditation, la lecture, les voyages, une activité sportive, ou

s’engagent dans une association.

Certains reviennent également à la spiritualité et à la religion.

La rareté du personnel de santé mentale et le coût élevé du suivi

psychologique sont des problèmes majeurs.

Certains patients discutent davantage avec leur médecin traitant ou

leur infectiologue, même si ce n’est pas leur rôle principal.

Il y a une demande pour une meilleure connaissance du VIH parmi les

professionnels de la santé mentale.

Des problèmes d’écoute et de confiance sont également signalés.

De nombreux répondants affirment qu’une relation avec un

professionnel de la santé mentale est indispensable pour gérer l’anxiété,

pour avancer et parfois se défouler. Cela leur donne de la force.

Recommandations

Il est recommandé que les autorités publiques prennent en charge les

séances de suivi psychologique pour les PVVIH.

Lors de l’annonce du diagnostic, que ce soit à l’hôpital ou dans un

centre de dépistage, il serait bénéfique de proposer un suivi

CR - EGPPVIH POUR CA 14

psychologique et une séance avec un psychologue.

Il est également important de sensibiliser les associations de patients

sur les bienfaits d’un suivi psychologique pour éviter l’isolement, la

dépression et le risque de suicide.

Restitution des premières

recommandations

Restitution des recommandations sur plusieurs thématiques :

Pour développer notre capacité d'agir

Echanger et partager entre pairs pour monter en compétences,

s'informer, notamment sur les problèmes d'accès aux droits.

Accompagner ses pairs dans les démarches pour faire face aux

difficultés notamment dans le cadre du travail.

Les meilleures personnes ressources au service des

PVVIH, ce sont les PVVIH elles-même"

Pour lutter pour nos droits

Intervenir et sensibiliser au sein des entreprises pour que les PVVIH

puissent parler "à la première personne" des difficultés liées au travail.

J'allais à 16h prendre ma pause et je m'enfermais dans

les toilettes pour prendre mes médicaments. J'étais

dans un état de stress pas possible.

Mobiliser les communautés migrantes dans notre communauté.

Dénoncer les dysfonctionnements (refus de soin, utiliser les

commissions des usages...).

S'inscrire dans l'histoire et l'évolution de

l'épidémie

Ne pas entretenir les représentations anciennes sur les PVVIH :

CR - EGPPVIH POUR CA 15

→ Entendre la douleur et la difficulté de vivre avec le VIH en 2024.

Assurer un devoir de mémoire : repolitiser nos luttes et transmettre

l'histoire de l'épidémie.

Accompagner les personnes au quotidien

Accompagner à l'annonce de la séropositivité.

J'avais un pilulier électrique, j'étais toujours stressé

quand j'allais chez mon compagnon.

Renforcer l'offre d'accompagnement psychosocial, d'éducation

thérapeutique, d'activité physique, sur la santé psychique, l'alimentation.

J’ai vécu des ETP catastrophiques, ils font un cours

magistral.

Poursuivre la sensibilisation sur lel, la différence entre VIH et sida,

participer à la dédiabolisation.

La charge virale indétectable, c'est une bonne

nouvelle. Cela a changé ma vision sur la sexualité car

avant j'avais mis une croix dessus.

Offrir des espaces de rencontre autour de la santé, la vie affective,

sexuelle, d'accompagnement pour les couples sérodifférents, les

familles, l'entourage, adaptés en termes d'horaire.

Je voudrais que l'autre m'aime, mais je ne peux pas si

je ne m'aime pas.

Soutenir, organiser, promouvoir la montée en compétences des

personnes noires dans les associations.

Adapter les outils de communication aux langues des migrants-es.

Former les membres de associations à l'accompagnement des

personnes migrantes, notamment en lien avec les services juridiques.

Remettre en place les programmes d'aide et de maintien à domicile.

CR - EGPPVIH POUR CA 16

Intervenir dans les réseaux communautaires pour lutter contre les

discriminations sérophobes.

Les femmes séropositives sont souvent vues comme

des femmes de mauvaise vie. Il faut changer les

représentations !

Rendre ses actions et les informations accessibles, lisibles pour que les

personnes puissent s'en saisir.

Soutenir les personnes face aux institutions

extérieures

Offrir des services de médiation en santé, être présents-es lors des

consultations.

Ceux qui sont accompagnés de leurs maris on prend le

temps de les écouter.

Diffuser des listes de praticien-nes respectueux-ses des personnes

vivant avec le VIH.

Les médecins ? C'est une loterie !

Des référents spécialistes pour l'accompagnement vers la retraite, pour

les personnes dans un parcours de migration pour la défense des droits

à la retraite des PVVIH.

Je me suis retrouvée à rédiger m

icoFacebook35Color icoTwitter35Color icoComment35Color
icoFacebook35Color icoTwitter35Color icoComment35Color
0 commentaire(s)
ou
Connectez-vous
Aucun commentaire pour le moment.
Notre contrat d'association
  • Statuts
  • Règlement intérieur
  • Charte des valeurs fondamentales
Nous joindre
  • Contact
icoFacebook24Color icoTwitter24Color icoYoutube24Color icoInstagram24Color
  • Plan du site
  • Licences
  • Mentions légales
  • CGUV
  • Paramétrer les cookies
  • Se connecter
  • Propulsé par AssoConnect, le logiciel des associations